Ceux qui aiment l'univers Grimaldi, Moyes, Vareille avec une pincée de Mourlevat devraient être servis par ce premier roman ode à la vie et à la renaissance.
Hanna est agoraphobe. Zach est en prison. Chacun ses barreaux. Sauf que ces deux-là vont s'entraider à travers des échanges épistolaires sous forme de lettre. Hanna vit à Londres, Zach groupit à New-York. Ils se prennent vite d'amitié l'un pour l'autre.
Un roman qui déborde de citations optimistes, édulcorées, où tout semble simple et facile. On passe d'une difficulté à une solution au chapitre suivant, c'est un peu naïf certes même si la magie opère grâce à ce tandem optimiste qui en vient très vite (trop vite!) à croire qu'on peut réussir sa vie malgré ses peurs et ses erreurs. Pour un premier roman, c'est déjà pas si mal, Samuelle Barbier s'en sort plutôt bien.
Amateurs de littérature d'été, de fraîcheur et de bonbon rose, La sirène et le scaphandrier vous attend.
La Coccinelle des livres
La sirène et le scaphandrier
Chronique créée le 04/08/2019
0 commentaire